Les motards ne veulent pas d’un contrôle technique
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Les motards ne veulent pas d’un contrôle technique
07/01/10
Alors que le secrétaire d’état aux transports Dominique Bussereau s’est déclaré « très favorable » à la mise en œuvre d’un contrôle technique pour les deux roues motorisés (2RM), la FFMC rappelle son opposition à cette mesure inutile et coûteuse. Dominique Bussereau semble ignorer les études d’accidentologie qui démontrent que les défaillances techniques n’interviennent que dans moins de 1% des cas d’accident de 2RM . La FFMC réaffirme pour sa part que c’est par la formation et la responsabilisation des usagers, notamment des plus jeunes et de leurs parents que l’on pourra endiguer la sinistralité routière.
Pour la FFMC ce contrôle technique moto n’aura d’autre intérêt que le profit des sociétés de contrôle. De l’aveu même des futurs contrôleurs moto, la mise en place sera coûteuse et difficile. Le contrôle se cantonnerait donc à une simple vérification visuelle de quelques éléments de sécurité. En gros, ce que fait tout conducteur de 2 roues motorisés juste avant de mettre la clé dans le contacteur (pneus, freins, éclairage, …). 50 euros pour un coup d’œil… mais une ponction supplémentaire sur l’usager ! En matière de sinistralité routière, un contrôle technique moto n’est qu’un emplâtre sur une jambe de bois.
En matière de 2RM, la France se distingue déjà par des réglementations discriminatoires qui posent des contraintes bureaucratiques et sans objet sur la revente des 2RM. Une loi imposant des références strictes à la « conformité à l’homologation » a ainsi été adopté lors d’un précédent CISR : un motard qui revend un véhicule sur lesquels les clignotant ou les rétroviseurs ont été changés par des modèles adaptables, encoure une peines de 6 mois d’emprisonnement et une amende de 7 500€ (2 ans et 30 000€ dans le cas d’un professionnel). Un non-sens qui place l’ensemble des utilisateurs de deux roues motorisés en situation de délinquant potentiel. La France se distingue également en étant le seul pays européen à appliquer une limitation à 74kw des motos immatriculées sur son territoire.
Pour la FFMC, pourtant engagé dans une concertation de grande ampleur avec la DSCR sur la sécurité des 2RM, le contrôle technique moto, c’est NON ! Et s’il faut se faire entendre dans la rue, rappelons qu’en 30 ans d’existence, la FFMC a démontré que les motards sont des citoyens toujours capables de se mettre en Colère !
Alors que le secrétaire d’état aux transports Dominique Bussereau s’est déclaré « très favorable » à la mise en œuvre d’un contrôle technique pour les deux roues motorisés (2RM), la FFMC rappelle son opposition à cette mesure inutile et coûteuse. Dominique Bussereau semble ignorer les études d’accidentologie qui démontrent que les défaillances techniques n’interviennent que dans moins de 1% des cas d’accident de 2RM . La FFMC réaffirme pour sa part que c’est par la formation et la responsabilisation des usagers, notamment des plus jeunes et de leurs parents que l’on pourra endiguer la sinistralité routière.
Pour la FFMC ce contrôle technique moto n’aura d’autre intérêt que le profit des sociétés de contrôle. De l’aveu même des futurs contrôleurs moto, la mise en place sera coûteuse et difficile. Le contrôle se cantonnerait donc à une simple vérification visuelle de quelques éléments de sécurité. En gros, ce que fait tout conducteur de 2 roues motorisés juste avant de mettre la clé dans le contacteur (pneus, freins, éclairage, …). 50 euros pour un coup d’œil… mais une ponction supplémentaire sur l’usager ! En matière de sinistralité routière, un contrôle technique moto n’est qu’un emplâtre sur une jambe de bois.
En matière de 2RM, la France se distingue déjà par des réglementations discriminatoires qui posent des contraintes bureaucratiques et sans objet sur la revente des 2RM. Une loi imposant des références strictes à la « conformité à l’homologation » a ainsi été adopté lors d’un précédent CISR : un motard qui revend un véhicule sur lesquels les clignotant ou les rétroviseurs ont été changés par des modèles adaptables, encoure une peines de 6 mois d’emprisonnement et une amende de 7 500€ (2 ans et 30 000€ dans le cas d’un professionnel). Un non-sens qui place l’ensemble des utilisateurs de deux roues motorisés en situation de délinquant potentiel. La France se distingue également en étant le seul pays européen à appliquer une limitation à 74kw des motos immatriculées sur son territoire.
Pour la FFMC, pourtant engagé dans une concertation de grande ampleur avec la DSCR sur la sécurité des 2RM, le contrôle technique moto, c’est NON ! Et s’il faut se faire entendre dans la rue, rappelons qu’en 30 ans d’existence, la FFMC a démontré que les motards sont des citoyens toujours capables de se mettre en Colère !
Re: Les motards ne veulent pas d’un contrôle technique
qu'est ce qu'ils ne feraient pas pour se faire du frics !!
c'est vraiment du n'impote quoi
c'est vraiment du n'impote quoi
supernany- Rookie
- Messages : 169
Age : 44
Localisation : marseille
Date d'inscription : 11/11/2009
Re: Les motards ne veulent pas d’un contrôle technique
C'est clair...
Les caisses sont vides, et il faut les re-remplir...
J'aime bien la vignette de la FFMC...
Les caisses sont vides, et il faut les re-remplir...
J'aime bien la vignette de la FFMC...
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